HISTORIQUE

 4 MARS 2002 ,visite de 4 bateaux en acier à Palavas puis Marseille.

          Visite et signature de la promesse de vente au port de La Lave

          (Marseille).Acompte versé ( 5336 Euros).

 

  

  19 Mars 2002 à 9h30 Expertise à notre demande, du bateau à flot et à sec par Mr Patrick Laurent du CTM ( contrôle technique Mer) .

Expertise de M Patrick Laurent ; mesure la profondeur de la corrosion de la ligne de flottaison à l'aide de la clef de voiture .

 Le rapport d'expertise  ne signale rien de particulier   

29 AVRIL 2002 signature du contrat de vente et paiement par chèque de banque d'un montant de 36 664 Euros .

     12 Mai 2002 prise de possession du bateau et  des préparatifs pour la traversée vers Sète.

 

      En remontant sur le bateau via l'annexe , Laurent arrache un chandelier soudé sur le pont. Rongé par la rouille celui-ci laisse entrevoir un trou de 5 cm de diamètre.

Contactés par téléphone , le courtier et l'expert minimisent alors l'incident .

 

13 Mai 2002 et pour 15 jours : remontée du canal du midi. Le moteur chauffe (pas de filtre a eau de mer , la crépine se bouche ) , le vetus tombe en panne à Gardouche ( située environ 30 km avant Toulouse). Immobilisation du bateau et début des recherches d'un mécanicien marine.

 

AOUT 2002 réparation du moteur . Soudure de plaques en acier (8cm X 8cm) au pied de chaque chandelier. Découverte lors de fortes pluies d'entrées d'eau par les plexis, d'ou colmatages pendant les vacances .

 

     Du reste, le fond de la penderie tribord (seul endroit ou l'on peut atteindre et voir la coque et seul endroit repeint par les anciens propriétaires montre des traces de rouille et de corrosion inquiétante....il faudra sans doute changer la taule .

 

A se stade , le bateau n'a pas livré tous ses secrets.

 

4 NOVEMBRE 2002. Arrivé au port de  Pauillac .Mise à sec du bateau sur la Zone technique du port .

 

MARS 2003 et mois suivant : mise à nu de l'intérieur du bateau et décapage progressif de l'extérieur (coque et pont ). Puis réparations de plus en plus conséquentes .

 

 

JUILLET 2003 (vacances scolaire)

      Suite à la découverte de zones mastiquées par les anciens propriétaires, d'une trentaine de perforations du pont, et d'une corrosion généralisée (intérieure et extérieure ) planquée sous les meubles , et plusieurs couches de peinture pour batiment (et non pour bateau), nous décidons de suspendre nos travaux et de porter l'affaire en justice .

 

 

 

 



22/10/2007
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